2ème article italien paru dans le journal « L'Ufficio Stampa ». Rome, 7 mars 2006
Cours de Sahaja Yoga à la section féminine de la prison de Latina.
L'initiative est soutenue par le Garant régional des droits des détenus Angiolo Marroni.
Mr Marroni responsable des droits des détenus
« Les initiatives comme celles-ci peuvent aider les détenus à dépasser les difficultés du monde carcéral tout en favorisant leur réinsertion sociale. »
D'un côté, chercher à aider les détenus à dépasser les effets difficiles du monde carcéral et d'un autre côté contribuer à leur reconstruction civile, psychologique et spirituelle. Ce sont les objectifs du cours de méditation Sahaja Yoga qui commencera dans les prochains jours dans le quartier féminin de la prison de Latina avec le soutien du garant des droits des détenus de la région du Lazio, Angiolo Marroni.
L'expérience de Latina est la deuxième du genre après celle entamée avec succès en décembre dernier dans la prison de Velletri. A Latina, en particulier, le cours de yoga durera environ un an et sera géré par des bénévoles de l'association nationale Sahaja Yoga reconnue par le ministère du travail et des politiques sociales, inscrite au registre national des associations de promotion sociale et qui développe depuis des années des activités de volontariat social sur le territoire national.
Le garant a voulu insister sur un point en particulier : le cours de Sahaja yoga se veut une aide aux détenus pour dépasser les traumatismes du monde carcéral. Même en l'absence de chiffres, l'office du Garant régional des droits des détenus fait remarquer que lors de leurs réunions hebdomadaires dans les structures carcérales du Lazio, les problèmes psychiques qui émergent sont surtout dus aux difficultés des prisonniers à affronter la vie quotidienne en prison.
« Ces difficultés sont un véritable danger pour chaque détenu, a dit le Garant, qui, à travers l'autre, voit la détention seulement comme un moyen d'expiation de la faute. Dans les prisons, il manque des alternatives en mesure d'attirer l'intérêt des détenus et de cette manière de transformer la détention en une occasion de réinsertion sociale. De ce point de vue, une initiative comme le cours de Yoga peut devenir une occasion à saisir. »
L'Ufficio Stampa.
publié par sahaja yoga en prisons
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